Au niveau international, James Otudor, homme politique nigérian, éducateur et défenseur du bitcoin, a intenté une action en justice contre diverses autorités nigérianes au sujet des restrictions imposées à la propriété, à l’utilisation et au commerce du BTC, de l’USDT et d’autres cryptos. Cette action en justice vise à contester les mesures prises par le gouvernement pour contrôler l’industrie des cryptos et à défendre les droits des investisseurs nigérians en crypto.
Crypto international | Une « protestation pacifique » pour protéger le secteur
L’action en justice déposée en juillet vise des entités du gouvernement comme le président du Nigéria, le ministre des Finances et la Banque centrale du Nigéria (CBN). Selon le représentant légal d’Otudor, le Bitcoin et l’USDT sont des valeurs refuges mondiales et des moyens d’échange. L’action en justice fait valoir que ces actifs numériques sont essentiels à l’inclusion financière et à la stabilité économique. Notamment, que les citoyens nigérians ont le droit d’acquérir et de posséder des biens, y compris des cryptos, garantit par la constitution.
Remise en cause des restrictions gouvernementales
L’action en justice conteste les restrictions imposées par le gouvernement nigérian, notamment le blocage des plateformes d’échange de cryptos par les entreprises de télécommunications. Elle affirme que ces restrictions violent les droits humains fondamentaux, tels que décrits dans la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Otudor souligne que le fait de cibler les investisseurs nigérians en cryptos constitue une violation de leurs droits et souligne l’importance du bitcoin et d’autres actifs numériques pour se protéger contre l’inflation et faciliter les transactions internationales.
Crypto international | Protection des droits humains fondamentaux
L’action en justice vise à assurer la protection des droits des utilisateurs de Bitcoin par la loi. Elle exige aussi un accès sans limitation pour tous les Nigérians aux plateformes d’échange de cryptos en ligne. Elle demande également une déclaration selon laquelle la violation et la victimisation de ceux qui utilisent la crypto au Nigéria sont illégales et inconstitutionnelles. Otudor demande en outre la reconnaissance des actifs au sein de l’écosystème financier nigérian. Il souligne la necéssité des réglementations spécifiques pour le bitcoin en tant que marchandise.
En conclusion, James Otudor considère qu’elle est une ‘protestation pacifique’ pour défendre les droits des utilisateurs de cryptoactifs au Nigéria. L’issue de cette bataille juridique pourrait avoir un impact significatif sur l’avenir de la réglementation des cryptos au pays.