Au cours de la phase 2a, qui s’est achevée le 30 juin 2024, l’association avec Ripple a consisté à utiliser les monnaies numériques de sa banque centrale (CBDC) et sa plateforme blockchain. Cela dans le but d’explorer l’intégration d’un USD tokenisé dans l’infrastructure financière de Palau.
MICA stablecoin | Réalisations clés de la phase 2a
Le projet a fait des progrès importants dans la création d’un cadre réglementaire et technologique pour soutenir le stablecoin. Il a presque achevé le projet de loi sur les services de paiement, visant à établir un cadre juridique pour régir les opérations de paiement. En effet, ce projet couvre l’octroi de licences, le règlement des litiges et les réglementations AML/KYC (lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme).
Améliorations de l’infrastructure technique
Une évaluation a notamment confirmé la viabilité du système stablecoin et a mis en évidence les améliorations à apporter. Par exemple, à la connectivité Internet et à la compatibilité des appareils numériques dans les Palaos. En réalité, ces améliorations sont cruciales pour assurer un accès généralisé au nouveau service de paiement et promouvoir l’inclusion financière.
MICA stablecoin | Rôle de Ripple et planification stratégique
Ripple a joué un rôle clé dans la planification et la mise en œuvre du programme pilote, en se focalisant sur l’exploration du service de paiement national de Palau à travers des discussions avec les parties prenantes. La phase 2b vise à poursuivre le développement de l’écosystème en intégrant des cadres financiers, juridiques et commerciaux complets. Elle abordera les questions d’évolutivité et de sécurité afin de garantir la puissance du système.
Engagement en faveur de la croissance et de l’intégration
Le ministère des finances s’est engagé à améliorer l’écosystème en intégrant davantage de sociétés financières, d’organismes de réglementation et d’entreprises. Cette démarche est cruciale pour la réussite d’un déploiement national à grande échelle.